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Pensant manger classiquement chez Higuma rue Sainte Anne, je suis sortie sans mon appareil photo. Et puis Dan s'est trompée de métro et elle est arrivée plus tard que prévu. Et puis c'était dimanche soir et même rue Sainte Anne, beaucoup de restaurants sont fermés. Et puis, ça me revient, Dan ne mange pas de porc.
La chance! Toutes les conditions étaient réunies pour essayer un nouvel endroit!
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Pour les puristes, j'ai donné il y a longtemps déjà la recette complète du Mapo Tofu. Et pour les gourmets pressés, j'ai une alternative à proposer : utiliser un bocal de sauce Mapo toute prête. En vente pas cher dans n'importe quelle épicerie asiatique.
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A mi-chemin avant d'arriver en Chine, il se peut qu'on fasse escale en Inde. On y goûtera alors ces délicieuses Paratha, sortes de galettes au feuilletage rudimentaire et addictif. Il se peut aussi que le voyage s'arrête Paris Gare du Nord, et qu'on fasse escale à la Paratha House.
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Depuis le Bubble Tea, ça me démangeait d'essayer de cuisiner le tapioca en dessert ; il fallait que je trouve un prétexte, voire une ou plusieurs victimes pour partager l'expérience. Dimanche dernier, Samu et sa famille sont venus déjeuner chez moi et quand Samu m'a dit qu'il testait une diète sans gluten, ni oeufs, ni lactose, ni glucose... j'ai su que je tenais mon cobaye!
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La première fois que j'y suis allée, j'avais déjà dîné, j'ai rejoint des amis et léché les plats : pas moyen de faire une photo, mais qu'est-ce que c'était bon! La deuxième fois, j'y étais avec des psychorigides qui m'ont dit "pas question de prendre un seul plat pimenté!" : j'ai pris des photos, mais pas moyen d'écrire un article avec le goût de la déception. Mardi dernier enfin, j'y étais avec une commensale de haute qualité : plus de pile dans mon appareil photo. On s'est débrouillées avec un téléphone, et comme ça vous avez l'adresse, je n'ai que trop tardé.
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Vendredi 22 novembre, l'Inalco a reçu le Président du Bureau de Représentation de Taipei à Paris BRTP . Il y a eu un tas de conférences et de tables rondes hyper sérieuses. Et personnellement, je me suis intéressée à la boisson nationale taiwanaise : le bubble tea.
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Normalement quand je vais faire des courses chez Tang ou autre Paris Store, je prépare une liste et j'ai un temps limité. Comme ça j'évite d'acheter n'importe quoi. Ceci dit, il y a des bavures ; par exemple, impossible de me rappeler comment j'en suis venue à acheter cette boîte de préparation instantanée pour dessert aux amandes.
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Quand on s'inscrit à l'Inalco en Chinois, on se croit bien tranquille, entouré de sinisants venus là pour s'imprégner de la philosophie de Zhuang Zi 莊子 ou du coup de pinceau de Gu Kaizhi 顾恺之. Et puis on s'aperçoit que telle étudie aussi l'arabe, tel autre le japonais, telle le tagalog et Raph, le coréen. Vous me direz, et alors, ça les regarde! Sauf que parfois, il y a collision des cultures, et ça fait mal à la tête.
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J'en avais mangé au Pays du Sourire de ces 春饼 et je m'étais tellement régalée que j'avais résolu d'essayer d'en faire moi-même. Des mois plus tard, allez savoir pourquoi, je me suis lancée. La maîtrise n'est pas encore au rendez-vous, mais c'est suffisamment réussi pour que je vous en parle.
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Le 回锅肉 huíguōròu,traduit platement par "porc aux poireaux", c'est pas très sexy comme nom. On repense à ces soupes de poireaux fadasses et obligatoires en colonie de vacances, l'horreur! Pourtant, une fois qu'on a goûté cette spécialité du Sichuan, difficile de se défaire de l'addiction.
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