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Cette rudimentaire cantine m'avait vraiment plu. Mais parfois à la deuxième visite, la déception est au rendez-vous. Il fallait que j'en ai le coeur net! Et pour assurer mon objectivité, j'ai emmené mes filles avec moi ; parce que ces enfants-là ne se laissent pas jeter de la poudre aux yeux et si c'est pas bon, elles le disent!
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C'est le mois de Novembre, il fait gris. Quand je rentre chez moi le soir, il fait froid et nuit. Pour faire à dîner, il me faut traîner les courses sur 4 étages. Une fois dans l'appartement, il est évident que personne n'a rangé ni fait le ménage en mon absence. Dans des moments comme ça, heureusement que je peux me rappeler les parenthèses lumineuses du printemps dernier! Particulièrement les petits déjeuners du Sofitel de Shanghaï.
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Pendant le repas du Nouvel An, madame Liu ne peut retenir son fils qui file dehors pour voir exploser les "feux à la Zhuge Liang". Par contre, elle cuisine pour le vétéran Lai "Bon frère Lai, goûte un peu tant que c'est chaud le plat que je viens de faire sauter à la poêle, les fourmis grimpent à l'arbre." (p 69)
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Tous le monde connaît les nouilles instantanées ; mais combien d'entre vous savent qu'elles peuvent servir à réaliser des travaux manuels ?
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Comme on dirait "le bistrot du coin", on a "le japonais du coin", efficace et sans fioritures depuis un bon nombre d'années.
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Mon grand frère 大哥 était de passage à Paris : en descendant de son train et avant de remonter dans son RER, il est passé dîner à la maison. Je n'allais pas rater l'occasion de tester quelques recettes sur lui et je lui ai fait manger des choses bien éloignées de son cassoulet traditionnel...
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